Le 25/09/2016 à 10:20, Sappas a écrit :
Bonjour David,
Il se trouve que je suis en train de modéliser mon support de plaque de la voiture sous FreeCad, lequel vient de planter ! ;-)
_En impression 3D, tu peux avoir 2 approches _:
- imprimer ce que font les autres,
tu as besoin d'une imprimante qui lit le G-Code (langage des outils numériques vieux de 50 ans), le lequel G-Code est généré à par d'un fichier intermédiaire de description d'objet 3D le STL (tessellisation des surfaces) grâce à un slicer.
L'avantage du STL est de décrire l'objet dans un format universel, c'est un genre de PDF, l’inconvénient, est la définition fine du tecel ou tésel qui est laissé à l’appréciation de celui l'a généré...
C'est pour cela que je génère de plus en plus mon Gcode à partir de mon modeleur, j'évite une double approximation.
- réaliser tes propres désirs dans la mesures de tes moyens
intellectuels, qui dans mon cas, sont limités... Donc modéliser !
Donc il faut franchir et apprendre la modélisation, un vrai boulot comme graphiste, concepteur de site Web.
_Il existe 2 familles de modeleur :_
- Surfacique
- Blender, un cauchemar pour l'impression 3D..., il faut souvent passer
par un logiciel de réparation du STL... Par contre, il permet de faire de la sculpture...
- Paramétrique
Dessiner sous contraintes, des pièces mécaniques, il permet de fermer les surfaces, calcul d'effort et des déformation, et d'avoir une impression 3D nickel du premier coup, j'ai dessiner mon premier prototype de support de plaque, je l'ai imprimé, et il est monté sur la voiture ! Je suis en train de concevoir la V2, avec un ressort de rappel, comme le bord inférieur de la plaque est à 100 mm du sol, il me permet d'appréhender le reste de la voiture
Freecad, mon chouchou en devenir, il est développé H24, un futur grand !
OpenScad, pour matheux, c'est rigolo pour la démonstration
mathématique, à moins d'être Einstein, c'est assez inabordable
petit complément, ayant travaillé longtemps dans le domaine: 2 types:
Surfacique
on définit l'objet comme des surfaces en se servant entre autres des mathématiques de Pierre Bézier
Volumétrique On définit l'objet comme des volumes et des intersections, des unions de volumes.
Le paramétrique ajoute une notion supplémentaire, plutôt informatique, qui est celle de dire que ta pièce dépend d'un paramètre. Par exemple, en système classique, tu définis un câble entre ton tableau de bord et le clignotant arrière. Si tu rallonge ton châssis, le câble doit se rallonger pour continuer à faire la liaison. Si tu as défini le câble comme paramétré par la longueur du châssis, automatiquement, le câble sera rallongé. Notion simple et pour moi informaticien, assez évidente mais qui a fait hurler pas mal d'ingénieurs mécaniciens, habitués à la planche à dessin, lorsque ce concept est apparu au débuts des années 1990, porté par la société Parametric Technologies. Depuis, je crois que cette socéité a été rachetée par AutoCad, ce qui suffit à lui assurer une très grande popularité.